« Beaucoup de personnes, sans bien s'en rendre compte ou sans se l'avouer, trouvent dans leur prétendue indécision des excuses à leur inaction, alors que seule la peur des complications les empêche d'agir. Que tous ceux qui, ainsi, se demandent fréquemment : « je ne sais pas si je dois... » s'analysent en toute impartialité. Il est alors fort probable qu'il découvriront autant de peur d'agir que d'indécision dans leurs manières de faire : peur d'agir qui disparaîtra comme rosée au soleil dès que la volonté deviendra plus forte.»
A. Cellier